L'insegnante
« L'enseignante »
« L'enseignante »
La « prof » donne des leçons particulières - France
Pecado venial - Espagne
La profesora particular - Argentine
La profesora "enseñante" - Mexique
A mestra - Portugal
I daskala tou erota - Grèce
Sexy schoolteacher / The school teacher - GB (noter les « lesions » !)
The school teacher - Liban
Die Bumsköpfe - Allemagne
青い経験 エロチカ・レッスン - Japon
Учительница - Russie
1975
Réalisé par Nando Cicero
Avec :
Edwige Fenech
Alfredo Pea
Mario Carotenuto
Carlo Delle Piane
Alvaro Vitali
Gianfranco D'Angelo
Francesca Romana Coluzzi (ici doublée par l'acteur Oreste Lionello, voix officielle de Woody Allen en Italie !)
Enzo Cannavale
Vittorio Caprioli
Franco (Alfredo Pea) et ses amis Tartuzzo (Alvaro Vitali) et Peppino sont des cancres et des obsédés. Le directeur Margara (Mario Carotenuto) le sait, mais le père de Franco est un politicien influent susceptible de lui faire avoir de l'avancement, aussi doit-il faire en sorte que Franco réussisse son année scolaire, quoi qu'il en coûte. Margara a l'idée de faire engager la fiancée du professeur de gymnastique, aussi ridicule et mesquin qu'aveugle (joué par le génial Gianfranco D'Angelo) pour lui donner des leçons particulières. Giovanna (Edwige Fenech) arrive donc pour lui dispenser des cours de grec. Franco, surprotégé par sa mère (Francesca Romana Coluzzi), fait croire qu'il est homosexuel (ce qui lui permet une plus grande intimité avec sa préceptrice), et cette dernière suggère à notre enseignante d'aider son fils à surmonter sa prétendue timidité (il n'est pourtant pas farouche avec sa domestique, très bien faite tout en étant dotée d'une surprenante pilosité faciale !). Franco recourra à toutes sortes de stratagèmes pour posséder sa douce maîtresse d'école (comme la droguer ou simuler un suicide !), qui finiront par porter leurs fruits !
Ce premier volet des professoressa et autres liceale installe le décor d'un des cadres typiques de ces comédies. Les facéties d'Alvaro Vitali sont outrancières (comme parier sur la longueur de la flamme que ses pets peuvent provoquer !). C'est aussi un tableau réaliste quoique navrant de l'éducation italienne (Carlo Delle Piane joue un professeur dépassé et pathétique).
La musique, superbe, est de Guido et Maurizio De Angelis et du grand Piero Umiliani.
Réalisé par Nando Cicero
Avec :
Edwige Fenech
Alfredo Pea
Mario Carotenuto
Carlo Delle Piane
Alvaro Vitali
Gianfranco D'Angelo
Francesca Romana Coluzzi (ici doublée par l'acteur Oreste Lionello, voix officielle de Woody Allen en Italie !)
Enzo Cannavale
Vittorio Caprioli
Franco (Alfredo Pea) et ses amis Tartuzzo (Alvaro Vitali) et Peppino sont des cancres et des obsédés. Le directeur Margara (Mario Carotenuto) le sait, mais le père de Franco est un politicien influent susceptible de lui faire avoir de l'avancement, aussi doit-il faire en sorte que Franco réussisse son année scolaire, quoi qu'il en coûte. Margara a l'idée de faire engager la fiancée du professeur de gymnastique, aussi ridicule et mesquin qu'aveugle (joué par le génial Gianfranco D'Angelo) pour lui donner des leçons particulières. Giovanna (Edwige Fenech) arrive donc pour lui dispenser des cours de grec. Franco, surprotégé par sa mère (Francesca Romana Coluzzi), fait croire qu'il est homosexuel (ce qui lui permet une plus grande intimité avec sa préceptrice), et cette dernière suggère à notre enseignante d'aider son fils à surmonter sa prétendue timidité (il n'est pourtant pas farouche avec sa domestique, très bien faite tout en étant dotée d'une surprenante pilosité faciale !). Franco recourra à toutes sortes de stratagèmes pour posséder sa douce maîtresse d'école (comme la droguer ou simuler un suicide !), qui finiront par porter leurs fruits !
Ce premier volet des professoressa et autres liceale installe le décor d'un des cadres typiques de ces comédies. Les facéties d'Alvaro Vitali sont outrancières (comme parier sur la longueur de la flamme que ses pets peuvent provoquer !). C'est aussi un tableau réaliste quoique navrant de l'éducation italienne (Carlo Delle Piane joue un professeur dépassé et pathétique).
La musique, superbe, est de Guido et Maurizio De Angelis et du grand Piero Umiliani.
Bande-annonce française :
Bande-annonce italienne :