Ricchi, ricchissimi... praticamente in mutande
/ Pizza, prosciutto e fichi
« Riches, très riches... pratiquement en slip / Pizza, jambon et figues »
Ricas, riquísimas... - Espagne
Negócios de carne - Portugal
Don't play with tigers - GB / USA
Богатые, очень богатые… на самом деле в одних трусах - Russie
1982
Réalisé par Sergio Martino
Avec :
Pippo Franco
Adriana Russo
Lino Banfi
Janet Agren
Renato Pozzetto
Edwige Fenech
George Hilton
Pippo Santonastaso
Nicoletta Piersanti
Ce film s'inscrit dans la veine de Zucchero, miele e peperoncino, du même réalisateur, avec les mêmes acteurs et dans le même cadre, un tribunal où se jugent des plaintes, trois cas de malentendus aux effets tragi-comiques.
Cesare Domenichini (Pippo Franco), modeste employé du métro, décide, sur les conseils d'un collègue, afin de passer les vacances les moins chères possibles avec sa femme (Adriana Russo) et ses enfants, de construire illégalement sa propre cabane au bord de la mer, sur une plage abandonnée. Les problèmes commencent quand un groupe de nudistes (plusieurs femmes papillonnant autour d'un bel homme baraqué et très bien doté par la nature...) viennent s'installer sur leur bout de plage. La femme de Cesare ne va pas rester longtemps insensible au charme de la libération sexuelle. Après de nombreuses péripéties, le bellâtre ayant fini par prendre possession avec son « harem » de la baraque, cette dernière vient à s'écrouler sur lui et il porte plainte contre Cesare, lequel avait lui-même vainement tenté de porter plainte, mais, sa baraque étant illégale, il lui avait été ordonné de la détruire...
L'industriel Mario Zamboni (Lino Banfi) raconte comment, en vacances en famille à Libourne, il a été arnaqué par une belle Allemande (Janet Agren) dans un hôtel. Après avoir déjoué l'attention de son horrible femme, qui cherche à arranger un mariage militaire pour leur fille ingrate (Nicoletta Piersanti), il a obtenu divers rendez-vous avec la belle inconnue, riche joueuse invétérée, qui l'a grugé avec l'aide de son majordome déguisé en mari jaloux, car les deux compères sont des trafiquants notoires de faux billets, et c'est le pauvre Zamboni qui finit par être accusé de trafic mais aussi de coups et blessures ! Tandis qu'il se verra blanchi par la confession de l'Allemande, quelques jours suivant le drame, le juge le relâche aussi pour le second chef d'accusation car, sa femme ayant déclaré ne pas vouloir divorcer, il estime qu'il n'y a pas pire sentence !
Alberto Del Prà (Renato Pozzetto) est propriétaire d'un chantier naval au bord de la ruine et il essaie de faire investir dans la construction d'un yacht de luxe un richissime émir, le prince Omar Abdul Yussef El Rachid (George Hilton). Mais ce dernier a mis une clause à son contrat : il souhaite ajouter à ses douze perles blanches (entendez son harem de blondes) une treizième perle brune, en l'occurrence la femme d'Alberto, Franscesca (Edwige Fenech), pour une seule nuit. Après un premier refus, qui déclenche la fureur des ouvriers du chantier naval qui se mettent en grève par solidarité avec leur patron, elle finit par accepter. Toutefois, le manipulateur finira manipulé car l'émir a en fait des vues... sur lui, ses douze perles n'étant que des travestis ! Cherchant à s'échapper, il est ramené de force par ses propres ouvriers qui ne veulent pas perdre leur travail. Prêt à tout lâcher, il se retourne quand l'émir lui propose la construction d'une douzaine de yachts, cette fois sans clause !
Ce sketch reprend la trame du dernier épisode du film Oggi, domani, dopodomani (1965), avec Marcello Mastroianni, qui joue le rôle d'un comptable vendu lui aussi par sa femme (Pamela Tiffin) à un riche émir homosexuel, après avoir tenté vainement de vendre celle-ci pour s'enrichir !
Cette brillante comédie est par bien des aspects plus grinçante et provocante que la précédente et on retrouve avec plaisir nos trois vedettes toujours aussi inspirées !
Musique et amusante chanson du générique de Mariano Detto.
Réalisé par Sergio Martino
Avec :
Pippo Franco
Adriana Russo
Lino Banfi
Janet Agren
Renato Pozzetto
Edwige Fenech
George Hilton
Pippo Santonastaso
Nicoletta Piersanti
Ce film s'inscrit dans la veine de Zucchero, miele e peperoncino, du même réalisateur, avec les mêmes acteurs et dans le même cadre, un tribunal où se jugent des plaintes, trois cas de malentendus aux effets tragi-comiques.
Cesare Domenichini (Pippo Franco), modeste employé du métro, décide, sur les conseils d'un collègue, afin de passer les vacances les moins chères possibles avec sa femme (Adriana Russo) et ses enfants, de construire illégalement sa propre cabane au bord de la mer, sur une plage abandonnée. Les problèmes commencent quand un groupe de nudistes (plusieurs femmes papillonnant autour d'un bel homme baraqué et très bien doté par la nature...) viennent s'installer sur leur bout de plage. La femme de Cesare ne va pas rester longtemps insensible au charme de la libération sexuelle. Après de nombreuses péripéties, le bellâtre ayant fini par prendre possession avec son « harem » de la baraque, cette dernière vient à s'écrouler sur lui et il porte plainte contre Cesare, lequel avait lui-même vainement tenté de porter plainte, mais, sa baraque étant illégale, il lui avait été ordonné de la détruire...
L'industriel Mario Zamboni (Lino Banfi) raconte comment, en vacances en famille à Libourne, il a été arnaqué par une belle Allemande (Janet Agren) dans un hôtel. Après avoir déjoué l'attention de son horrible femme, qui cherche à arranger un mariage militaire pour leur fille ingrate (Nicoletta Piersanti), il a obtenu divers rendez-vous avec la belle inconnue, riche joueuse invétérée, qui l'a grugé avec l'aide de son majordome déguisé en mari jaloux, car les deux compères sont des trafiquants notoires de faux billets, et c'est le pauvre Zamboni qui finit par être accusé de trafic mais aussi de coups et blessures ! Tandis qu'il se verra blanchi par la confession de l'Allemande, quelques jours suivant le drame, le juge le relâche aussi pour le second chef d'accusation car, sa femme ayant déclaré ne pas vouloir divorcer, il estime qu'il n'y a pas pire sentence !
Alberto Del Prà (Renato Pozzetto) est propriétaire d'un chantier naval au bord de la ruine et il essaie de faire investir dans la construction d'un yacht de luxe un richissime émir, le prince Omar Abdul Yussef El Rachid (George Hilton). Mais ce dernier a mis une clause à son contrat : il souhaite ajouter à ses douze perles blanches (entendez son harem de blondes) une treizième perle brune, en l'occurrence la femme d'Alberto, Franscesca (Edwige Fenech), pour une seule nuit. Après un premier refus, qui déclenche la fureur des ouvriers du chantier naval qui se mettent en grève par solidarité avec leur patron, elle finit par accepter. Toutefois, le manipulateur finira manipulé car l'émir a en fait des vues... sur lui, ses douze perles n'étant que des travestis ! Cherchant à s'échapper, il est ramené de force par ses propres ouvriers qui ne veulent pas perdre leur travail. Prêt à tout lâcher, il se retourne quand l'émir lui propose la construction d'une douzaine de yachts, cette fois sans clause !
Ce sketch reprend la trame du dernier épisode du film Oggi, domani, dopodomani (1965), avec Marcello Mastroianni, qui joue le rôle d'un comptable vendu lui aussi par sa femme (Pamela Tiffin) à un riche émir homosexuel, après avoir tenté vainement de vendre celle-ci pour s'enrichir !
Cette brillante comédie est par bien des aspects plus grinçante et provocante que la précédente et on retrouve avec plaisir nos trois vedettes toujours aussi inspirées !
Musique et amusante chanson du générique de Mariano Detto.