Spogliamoci così, senza pudor...

« Déshabillons-nous comme ça, sans pudeur... »




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Настолько раздеты, что никакого стыда... - Russie

1976

Réalisé par Sergio Martino

Avec :
Aldo Maccione
Alvaro Vitali
Ria De Simone

Enrico Montesano
Gianfranco Barra
Marzio Onorato

Barbara Bouchet
Nadia Cassini
Alberto Lionello
Ninetto Davoli
Angelo Pellegrino
Ennio Colaianni
Sophia Lombardo
Salvatore Baccaro

Johnny Dorelli
Ursula Andress
Daniele Vargas
Nicoletta Piersanti

Il s'agit d'un film en 4 parties, autour du thème de la tromperie.

Un détective (Aldo Maccione) et son assistant (Alvaro Vitali) doivent prouver à un client jaloux que sa femme (Ria De Simone) le trompe, mais comme elle est une véritable sainte, ce n'est pas gagné ! Prêt à tout, même à forcer la réalité, notre détective, sur le terrain 24 h sur 24, ignore que le mari jaloux fait tout pour l'éloigner et se retrouver avec sa femme (celle du détective) dont il est l'amant ! Alvaro Vitali est impayable en nonne chargée de photographier les ébats (fictifs et provoqués par le détective) de la femme irréprochable.

L'entraîneur d'une équipe féminine de football (Gianfranco Barra), qui a perdu sa joueuse vedette suite à un accident, engage un joueur (Enrico Montesano) pour jouer à sa place. Ce n'est pas sans rappeler Certains l'aiment chaud !

Un producteur (Alberto Lionello) marié à une femme très riche (Barbara Bouchet) tente par tous les moyens de la tromper avec une actrice française (Nadia Cassini) mais des cambrioleurs (dirigés par Angelo Pellegrino) venus à la villa du mari livrer une armoire, dans laquelle l'un d'eux (Ninetto Davoli) se cache, vont compromettre les ébats de l'infidèle. La femme suspicieuse, qui a suivi son mari, va découvrir tour à tour le cambrioleur dans l'armoire, ainsi empêché de faire sa besogne, et croire que son mari est gay, puis la maîtresse, elle-même réfugiée dans l'armoire au moment où arrive la femme (et qui a déjà succombé aux charmes du cambrioleur !) et, au final, les deux femmes vont se réconcilier avec notre jeune filou, en abandonnant le mari (jeté ligoté dans l'armoire récupérée par les complices puis qui tombe accidentellement dans la rue dans le plus simple appareil) à un sort très... gay !

À Venise, un amoureux éperdu (Johnny Dorelli) tente de rejoindre la femme (mariée) qui s'est promise à lui (Ursula Andress) mais il y a dans l'immeuble de cette dernière un mort et des funérailles auxquelles il va participer malgré lui, en se faisant passer pour le fils du défunt auprès du mari de la belle (Daniele Vargas) !

Grand film à sketches sur le thème du mariage et du cocufiage, rempli de quiproquos et pirouettes scénaristiques, un classique du genre !

Musique d'Enrico Simonetti.































Bande-annonce italienne :